Le Pôle d’Interprétation de la Préhistoire et la Fondation Orange s’associent pour proposer un cours en ligne gratuit et ouvert à tous qui apporte un nouveau regard sur les modes de vie des hommes et des femmes préhistoriques.
... inscriptions ouvertes ... traite des sociétés de la préhistoire, en allant à la rencontre des chercheurs d’aujourd’hui.
De quoi allons-nous parler ?
Essentiellement de préhistoire européenne, des périodes Paléolithique et Mésolithique, réunies désormais sous l’appellation « Paléo-Mésolithique », en privilégiant le cœur de cette période, entre 400 000 et 6 000 ans environ. C'est le temps des chasseurs-collecteurs, presque toujours nomades, circulant et échangeant sur des territoires où ils trouvent leurs ressources et leurs lieux de vie.
Jacques Jaubert, professeur de Préhistoire à l'université de Bordeaux a assuré la direction scientifique de ce cours. Il en est l'intervenant principal. Des anthropologues, archéozoologues, pariétalistes et technologues interviennent également dans ce MOOC. Chacun, dans son domaine, fait connaître ces sociétés de chasseurs-collecteurs, Néandertaliens ou Hommes modernes. Ils partagent l’actualité de leurs recherches, leur façon de travailler et de construire leurs connaissances. la préhistoire est abordée à partir d’éléments concrets (sites archéologiques, objets...) permettant de percevoir le quotidien de ces hommes et femmes préhistoriques, loin des clichés encore trop souvent véhiculés aujourd'hui : non, les préhistoriques ne vivaient pas au fond des grottes, en butte à une nature hostile ! Ce MOOC propose de découvrir un univers beaucoup plus riche, sensible et complexe.
Les trois séquences centrales du cours permettent d’explorer les modes de vie des chasseurs-collecteurs :
- Les territoires de vie
Comment les chasseurs-collecteurs se sont-ils adaptés aux bouleversements climatiques ? Comment organisaient-ils leurs espaces et leurs déplacements ? - Les objets et activités du quotidien
À quoi ressemblaient les outils et les armes des chasseurs-collecteurs ? Comment se nourrissaient-ils ? - Le monde symbolique
Quelles furent les diverses formes d’expression artistique des chasseurs-collecteurs ? Comment traitaient-ils leurs morts ?
... une équipe d’animateurs et d’experts est disponible pour dialoguer avec les apprenants.
Elles s'appellent la patience, la discrétion, l'affabilité, la bonhomie, la placidité, le silence... Le philologue Carlo Ossola et le philosophe Roger-Pol Droit expliquent combien elles sont essentielles pour atteindre en société une sagesse à la fois individuelle et collective.
Invités de l'émission "Grand Bien Vous Fasse", Carlo Ossola, philologue et historien au Collège de France et Roger-Pol Droit, philosophe, écrivain, chercheur et chroniqueur au Monde expliquent, au micro d'Ali Rebeihi, en quoi ces vertus qui nous sont communes sont plus que jamais nécessaires dans une société et ce quelles sont exactement.
Pourquoi la vertu rend-elle meilleur ?
Pour l'expliquer, Roger-Pol Droit fait un petit détour historique pour expliquer que la mise en place de l'idée de vertu morale provient directement des Grecs : "Le mot que nous traduisons par vertu, et à tort, c'est le mot grec "Arété" qui peut être traduit par l'adaptation parfaite, l'excellence.
Pour les Grecs, c'est la plénitude de la fonction d'un être ou d'un objet.
Et la mise en place des vertus, d'après notre sens moral, c'est à partir de Socrate, puis de Platon et d'Aristote qu'il prend le sens qu'on lui prête aujourd'hui, tout un catalogue de l'éthique qui pose la question : 'quand est-ce qu'un être humain atteint sa plénitude et quand est-ce qu'une société humaine fonctionne comme il faut ?'"
Carlos Sola explique, lui, que "l'homme est un animal fait pour la société, un animal sociable. C'est pourquoi il lui faut commencer par négocier d'abord avec lui-même, pour créer l'espace propice à une vie tranquille qui va permettre de ne pas gêner les autres".
La vertu, c'est avoir le plus d'amour possible dans le moins d'espace possible.
Roger-Pol Droit cite alors ce qu'il considère comme "la maxime fondatrice de l'éthique" : Le "Après vous, je vous en prie", qu'il emprunte à Emmanuel Lévinas et dans laquelle réside, selon lui le principe du "c'est l'autre qui compte d'abord", bien plus qu'une simple affaire de politesse qui consiste à simplement laisser passer.
'L'autre d'abord' est l'attitude la plus fondamentalement humaine.
Le philosophe insiste sur l'idée que "la vertu est vitale aux sociétés humaines. Si elle néglige ces vertus, une société risque d'être uniquement basée sur la compétition et se condamne à court terme".
Parmi les douze vertus que le philologue au Collège de France, Carlos Solas, traite dans son dernier ouvrage, Les Vertus communes (édition des Belles Lettres) voici celles sur lesquelles il s'est arrêté, au micro d'Ali Rebeihi, et qui constituent, selon lui, les plus essentielles pour faire preuve d'un minimum d'éthique dans nos comportements de tous les jours :
La patience
CS : "On ne peut pas exercer les autres sans la patience. La patience signifie en latin la capacité d'assumer et de savoir subir aussi.
Sans elle, on ne peut pas pratiquer les autres.
L'affabilité
Si la patience est la vertu de base, le philologue considère l'affabilité comme celle qui contribue le plus grandement à toutes les autres vertus :
"Parce que si on n'est pas capable de parler avec autrui, explique-t-il, il y a plus de contexte humain, il n'y a plus de société. L'affabilité, c'est la capacité de mesurer notre parole et l'attention de l'interlocuteur est absolument fondamentale. Autrement, on parlerait dans le désert, dans le vide... Mais je vois mal cela dans nos sociétés de millions et millions d'habitants qui nous croisent dans une vie".
La discrétion
Ensuite, si l'affabilité est selon lui "la première des vertus sociales", il considère la discrétion, comme "la première des vertus personnelles" :
Si elles sont si difficiles à pratiquer au quotidien c'est justement parce que, d'après lui, "ces petites vertus sont toujours invisibles". Et l'être humain fonctionne beaucoup par mimétisme. Nous imitons plus volontiers ce que nous voyons. D'où, effectivement, le rôle de prêter attention aux choses discrètes. D'où aussi le rôle des sociétés de mettre en avant ces vertus discrètes plutôt que de récompenser finalement les plus bruyantes, les plus extraverties, les plus agitées, les plus aptes à l'autopromotion.
Par facilité, nous imitons ce que nous voyons et ce que nous négligeons ce que nous ne voyons pas.
C'est un ancien principe du monde stoïcien classique : savoir distinguer pour faire un choix honnête.
C'est un exercice constant que nous devons faire sur nous-mêmes.
Si pendant des siècles, la discrétion a pu s'apparenter au fait de se dissimuler, de se cacher, de se déguiser, il s'agit en réalité de savoir distinguer les choses pour faire un bon choix, pour mieux exercer notre liberté.
On devient plus discret dans notre vie quotidienne quand on renonce à ce qui n'est pas essentiel dans la vie
La bonhomie
Alors qu'elle sert à qualifier la simplicité dans les manières, la bonté du cœur, la douceur, la simplicité, la bienveillance, c'est peut-être la plus fragile des vertus communes car elle permet de faire abstraction aux gestes de ceux qui savent en jouer :
"Dans les langues latines, c'est une vertu particulièrement difficile parce qu'on sait très bien qu'on peut aussi se moquer de vous mais c'est aussi le meilleur moyen de se défendre si on ne veut pas forcément entrer dans le mauvais jeu d'autrui, dans une compétition qui serait finalement inutile".
Il faut agir en sachant qu'on est méprisé mais c'est aussi une revanche directe. C'est assumer d'ignorer le vice d'autrui tout en passant outre.
La placidité
"Le placide se place au-dessus des ambitions, des rivalités, des emportements, comme une mer calme. Cela ne signifie pas qu'il n'y ait pas de vagues mais il faut toujours essayer de retrouver l'équilibre. La placidité va avec la mesure, c'est une espèce de résultat final.
On revient toujours à la question de la formation, de la civilisation, du contrôle de soi pour un résultat collectif".
L'urbanité
Cette vertu est trompeuse car elle ne se restreint pas uniquement, contrairement à ce qu'on pourrait croire, à l'urbain, au fait d'habiter dans la ville. C'est une vertu beaucoup plus large : Le philologue explique que "c'est la vertu qui consiste à habiter la même ville, le même lieu et d'avoir des obligations communes qui viennent du fait qu'on partage le lieu comme l'espace".
Être urbain, c'est savoir partager cet espace commun, comment donner la priorité aux autres, aux carrefours de la vie.
Le silence
Au même niveau que la discrétion, c'est, selon lui, "la vertu qui est la plus nécessaire de s'approprier" :
Le silence permet de mieux écouter et celui qui a le plus de pouvoir, c'est celui qui s'exprime le dernier et avec peu de mot.
Aller plus loin 🎧 RÉÉCOUTER - Ces vertus quotidiennes qui rendent heureux https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-04-fevrier-2020
Thèmes associés Vie quotidienne philosophie psychologie
diffusé le sam. 15.02.20 à 23h30 - interviews - 155 min - tous publics
Pour cette nouvelle saison d'« On n'est pas couché », Laurent Ruquier propose une nouvelle formule du rendez-vous culturel de la chaîne. Chaque semaine, deux nouveaux polémistes entourent désormais l'animateur.
Cette semaine retrouvez :
- Hugo Huon pour le livre : « Urgences, Hôpital en danger » aux éditions Albin Michel.
- Anne Berest & Lolita Chammah pour la pièce de théâtre « La Visite » texte et mise en scène de Anne Berest & Livre : « La Visite » suivi de « Les Filles de nos filles » de Anne Berest aux éditions Actes Sud.
- Thibault Berard pour le livre « Il est juste que les forts soient frappés » aux éditions de l'Observatoire.
Philippe Manœuvre pour le concert : « Rockin'1000 », le livre et Livre audio : « Rock » aux éditions HarperCollins.
Waly Dia pour le one-man-show : « Ensemble ou rien » actuellement en tournée.
présenté par : Laurent Ruquier, accompagné de : Franz-Olivier Giesbert et Abnousse Shalmani.
Transcription : ...
par mauque d'accueil ailleurs des pb de société, les gens finissent aux urgences !
Hugo Huon infirmier, pdt du collectif inter urgences ++
que les citoyens s'engagent sur la protection sociale (santé, retraites, etc) => BESOIN DE LIEUX D'ACCUEIL DE PROXIMITÉ pour contribuer à l'éducation populaire des gens afin de ne pas engorger les urgences
=>
Déployer MpT+MdH/TdM a bien du sens, la preuve en est amenée une fois de plus ACT
La difficile prise en charge de la souffrance au travail génère de nombreuses initiatives visant à en limiter les effets. Parmi les outils mis en place pour rendre visibles et lutter contre les risques dits « psychosociaux », ce numéro de Connaissance de l’emploi se concentre sur une « cellule d’écoute » mise en place au sein d’une collectivité territoriale. Il repose sur des données empiriques issues d’une enquête de terrain effectuée dans le cadre du projet Suripi (Surveillance des risques professionnels particulièrement incertains).
À travers l’étude des différentes tensions qui touchent ce travail d’écoute des maux du travail, il pose la question de ce que peut une ligne téléphonique en matière de prise en charge de la souffrance, et interroge ce que sa mise en place révèle des dynamiques récentes de la santé au travail.
En savoir plus +Télécharger le pdf http://ceet.cnam.fr/medias/fichier/155-surveiller-et-prevenir-la-souffrance-au-travail-tensions-et-ambiguites-d-une-cellule-d-ecoute_1580915771944-pdf?ID_FICHE=1061074&INLINE=FALSE
L’Atelier Paysan est membre de l’association nationale InPACT depuis 2016. Quelles sont les dynamiques communes en cours, on vous explique tout dans cet article...
Le pôle InPACT (Initiatives Pour une Agriculture Citoyenne et Territoriale) national est une plateforme associative composée de : Le Réseau CIVAM La FADEAR L’InterAFOcG Le MIRAMAP Terre de Liens Solidarité Paysans Le MRJC La Fédération Accueil Paysan Nature et Progrès L’Atelier Paysan.
Des déclinaisons régionales ou plus locales d’InPACT associent parfois une diversité plus grande encore d’acteurs qui font des pas de côté en agriculture (Réseau des GAB, semences paysannes, ResOGM, etc...). JPEG - 157.4 ko
L’ensemble de ces réseaux souhaite promouvoir une agroécologie paysanne et plus largement décider collectivement d’une souveraineté alimentaire des territoires. Ces réseaux proposent des alternatives concrètes aux agriculteurs sur leur ferme et aux consommateurs dans leurs choix d’alimentation et leurs liens au monde rural. Cela touche environ 50 000 agriculteurs et emploie 400 animateurs et chargés de missions.
Politique
Suite à la déclaration rectificative de Jean-Paul Delevoye, on découvre qu’il était membre du Conseil d’Administration de deux associations de la Civic Tech, « Démocratie ouverte « et « parlements & Citoyens ».
Ces deux associations sont dirigées par Cyril Lage, dont la start up Cap Collectif a conçu et géré la plateforme du Grand Débat.
Or cette plateforme suscite des inquiétudes chez certains (voir ici https://blogs.mediapart.fr/quitterie-de-villepin/blog/300119/alerte-en-marche-vers-la-privatisation-de-la-democratie), car elle capte quasiment toutes les consultations en France, et n’est pas en open source, contrairement aux promesses initiales de Démocratie Ouverte, et au modèle adopté par d’autres plateformes (Decidim)...par ailleurs le métier initial de Cyril Lage est lobbyiste (source ici. Le gouvernement a déjà payé quatre fois pour utiliser sa plateforme.
Edit: d’après Cyril Lage lui-même, la plateforme a été utilisée dans le cadre de la Réforme des retraites...son interview ici http://www.sciencespo-toulouse.fr/cyril-lage-le-diplome-derriere-la-plateforme-du-grand-debat-national-644406.kjsp.
Edit2: pas mal d’infos ici https://www.april.org/libre-a-vous-radio-cause-commune-transcription-de-l-emission-du-26-mars-2019. Extrait: « Frédéric Couchet : Comment expliquez-vous ce quasi-monopole ? Finalement tout à l’heure Caroline parlait de Decidim, mais il y a aussi des logiciels libres de consultation. Il y a DemocracyOS, vous en faites la promotion et vous en connaissez certains. Est-ce que vous avez une idée qui explique ce monopole de fait ? Emmanuel Raviart a l’air d’être bien au courant.
Emmanuel Raviart : Non, je ne suis pas bien au courant, mais c’est une entreprise qui est très efficace, qui a su créer une association autour de son logiciel, qui a su faire du lobbying, qui est là depuis assez longtemps d’ailleurs ; elle a le mérite d’être un peu antérieure à d’autres initiatives et c’est un très bon lobbyiste, qui connaît le fonctionnement de l’Assemblée, qui connaît le fonctionnement du politique, qui avait ses réseaux. Donc il avait un tapis rouge devant lui et il est suffisamment bon pour s’en servir. Voilà ! C’est aussi une des raisons de son succès. ».
Commentaires
AlbinosRa 12 points · 1 day ago
En examinant les divers think tank où Delevoye a posé ses fesses, il m'apparaît assez clair qu'il y a un democracywashing (comparable au greenwashing, parfois les deux sont combinés cf plus loin) dont je n'étais pas du tout conscient.
Un truc qui idéalement devrait être un mouvement grassroot est complètement pris en charge par le business, chapeauté par le haut-fonctionnariat français, tout ça par le medium de think tank et fondations. C'est aussi frappant avec l'IRG (Delevoye au conseil de l'orientation). L'objectif (sûrement sincère) de transition écologique, développement durable, agroécologie, et démocratie citoyenne de la maison mère la Fondation Charles Léopold Mayer pour le progrès de l'Homme côtoie des projets de fédéralisme européen, lobby institutionnel, gouvernance mondiale. On parle de dizaine de millions d'euros pour cette fondation suisse qui a le gros de ses activités en France.
Voilà ça a pas forcément rapport avec un quelconque conflit d'intérêts, mais c'est un truc qu'il faut avoir en tête.
level 1
SageThisAndSageThat 2 points · 1 day ago Intéressant. Quel recours a t-on?
Ndlr : voir aussi https://www.linfo.re/france/politique/decouvrez-la-nouvelle-declaration-de-jean-paul-delevoye
Fédérer des personnes et/ou groupes de personnes (tel que des associations, ou autres collectifs) dans le département de la Charente, soucieux de l’environnement et qui s’engagent depuis longtemps ou tout récemment ou qui en ont le désir.
Les actions sont diverses et variées, comme des manifestations pour le climat à Angoulême, des plastic attacks dans les supermarchés, des manifestations contre les pesticides, des nettoyages citoyens ainsi que des plaidoyers auprès des collectivités. publique
-> https://www.facebook.com/citoyensclimat16/
événements passés Samedi 21 septembre 14:30-17:30 Manifestation Climat Place du Champ de Mars, Angoulême
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Monnaie, création monétaire, dette publique, austérité : quelles solutions ?
Conférence donnée par Philippe Derudder à Annecy le 20 octobre 2015
Organisée par le festival de l’économie d’Annecy et le collectif pour une transition citoyenne sur le bassin annécien
Avec la participation de la monnaie locale La Gentiane
- 0’18 : Présentation du contexte local avec le projet de création d'une monnaie complémentaire sur le bassin annécien : la Gentiane
- 6'56 : Introduction de Philippe Derudder qui permet d'entrevoir pourquoi il y a crise, le conditionnement mental qui nous enferme et le changement fondamental de paradigme nécessaire si l'on veut une société plus généreuse et plus équitable pour tous
- 11'39 : PREMIERE PARTIE DE LA CONFERENCE Comment la collectivité a perdu sa souveraineté monétaire, ce qui constitue la véritable cause de la crise économique
o 11'39 : Prospérité étonnante des 30 glorieuses
o 18'02 : Perte de la création monétaire par la collectivité
o 22'34 : Conséquences sur la dette publique
o 26'22 : Dématérialisation de la monnaie
o 31'08 : La collectivité perd sa souveraineté monétaire - 36'49 : SECONDE PARTIE DE LA CONFERENCE Compréhension profonde de la crise amenant à diverses pistes de solutions
o 36'49 : Exposé étonnant du mécanisme de création monétaire
o 39'22 : Pourquoi le système est-il condamné à une croissance infinie, contradictoire avec une planète finie
o 41'33 : Mais finalement, une monnaie c'est quoi ?
o 48'00 : Les fausses croyances au cœur de la crise
o 51'52 : Introduction au film "Solution Monnaie-Terre".
Vous pouvez visionner le film ici : https://www.youtube.com/watch?v=qaqW0mt_a4s
Durée : 23 minutes - 57'06 : Différence de vision entre une monnaie nationale complémentaire pour le futur et les monnaies locales qui permettent d'expérimenter tout de suite. Les seules barrières sont mentales : c'est à nous de créer le monde que nous avons envie de vivre.
- 1h01'31 : Questions-réponses, échanges vivants qui permettent de mieux comprendre le fond de la pensée de Philippe Derudder
Catégorie Éducation
...
les médiateurs s’accordent pour définir la médiation comme « un processus structuré, volontaire et coopératif de prévention et de résolution amiable des différends qui repose sur la responsabilité et l’autonomie des participants. Initiée par les intéressés eux-mêmes, leurs conseils, les représentants d’une organisation ou un magistrat, la médiation fait intervenir un médiateur dûment formé, tiers indépendant, neutre et impartial.
Facilitateur de communication, sans pouvoir de décision, ni rôle d’expertise technique ou de conseil, le médiateur favorise le dialogue et la relation, notamment par des entretiens et rencontres confidentiels ».
...
Médiation 21 souhaite la création d’un statut pour le médiateur par la promulgation d’un texte de référence qui définira le médiateur et régira ses droits et obligations ainsi que les conditions d’exercice de son activité.
...
La médiation porte, en effet, un projet d’émancipation 24 ...
24 Empowerment.
...
Une trop grande institutionnalisation de la médiation peut maltraiter ces principes éthiques et déontologiques, allant parfois jusqu’à remettre en cause l’indépendance du médiateur, la liberté de choix des personnes de s’engager dans une médiation, voire même, le principe de confidentialité.
contact.mediation21@gmail.com
Ndlr : réclamer un statut par l'État, n'est-ce pas se mettre en situation de soumission, infantilisante, tout le contraire d'une profession émancipée et indépendante qui constate une trop grande institutionnalisation ? => QUESTIONNER ACT
Neutralité au pluriel nous invite à une réflexion constructive sur les pratiques, les concepts, les règles et les codes de la médiation. Une douzaine de membres du COllectif de REcherche sur les pratiques de Médiation (COREM) s’interrogent sur la manière dont la neutralité traverse l'espace de médiation, et la posture devant garantir leur éthique professionnelle.
En publiant leurs travaux, ils choisissent de partager plus largement leur questionnement, leurs expériences et leurs échanges. Et relancent un débat toujours vif chez tous les professionnels.
« Cette expérience de recherche collective s’appuyant sur des aspects théoriques et conceptuels de la médiation s’est révélée très impliquante personnellement et émotionnellement. La tâche a parfois été rude, exigeante, longue, fastidieuse et aussi enthousiasmante. »
Extrait du préambule
Coordination : Hélène Lesser - Préface : Dominique Lecoq
Auteurs : Kadhidja Amiti, Claire Bonnelle, Alix Bouche, Bernard Cortot, Claire Denis, Danièle Garin, Maïté Lassime, Hélène Lesser, Anne-Laure Petitjean, Hélène Schwartz, Laura Cardia Vonèche, Emile Ricard
Intégrer de nouvelles pratiques de formation entre pairs
Le « monde du co » se déploie petit à petit. Il n’y a pas un jour où la mise en commun, le partage (ex : co-voiturage), le collectif, la coopération, le collaboratif voire la coopétition [1], ne trouve de nouveaux chemins et de nouveaux terrains d’expression.
Les logiciels qui rapprochent les couples, l’offre et la demande de biens et de service, les acteurs distants, les idées, ou bien les projets, accélèrent encore les perspectives collaboratives. Le monde du « co » progresse aussi en matière de formation professionnelle. A cet égard, il est possible de pointer quatre exemples :
- La co-conception (ou co-design) ;
- Les communautés d’apprentissage ;
- Le co-développement professionnel ;
- Les collecticiels (logiciels collaboratifs).
...
Pairagogie !
L’un des points communs qui peut être relevé dans ces quatre exemples réside dans la mise en commun. Elle conduit à la formalisation progressive du concept de « pairagogie ».
Ce terme a déjà été traduit dans un dossier de cursus.edu[4] comme un « savoir-faire éducatif appliqué à l'apprentissage par les pairs » s’impose à un moment où la complexité est telle qu’un seul maître ou formateur est bien en peine de traiter seul une masse d’information exponentielle et d’appréhender seul les conclusions à en tirer pour le futur.
Nombre d’acteurs, formateurs, stagiaires, professionnels sont ainsi touchés par ces nouvelles approches où le pair est moins un voisin de travail ou d’étude et plus un partenaire actif d’apprentissage et de construction du vivre ensemble. Les universités s’engagent et réfléchissent sur la question de l’apprentissage entre pairs[5], les entreprises cherchent à devenir collaborative et veulent en capter les bénéfices, les organismes de formation intègrent ces pratiques à leur offre.
Il reste encore à formaliser les bonnes pratiques et à repérer ce qui fonctionne et ce qui constitue les limites d’un apprentissage entre pairs.
Clés : Apprentissage Entre Pairs Codéveloppement apprantissage collaboratif monde du co Pairagogie coopétition Codesign Chemins Coopération Mise Partage
par Giv Anquetil , Antoine Chao , Charlotte Perry - 56 minutes
Alors qu’un projet de loi sur la prise en charge de la dépendance est prévu à l’automne prochain, Comme un bruit qui court revient sur la situation explosive dans les Ehpad. Retour sur trois grèves, où le personnel soignant, les résidents et leurs familles luttent ensemble pour une fin de vie dans la dignité.
Grève à l'Ehpad de Buchy, mars 2018. © Radio France / Charlotte Perry
Début mai, Marcellin Meunier, médecin gériatre et coordinateur de l'Ehpad municipal de Notre-Dame du Mont (Vendée) a lancé un ultimatum au gouvernement: soit il obtient plus de moyens, soit il démissionne, refusant d’être complice de maltraitance institutionnelle qui s’installe et ne fait qu’augmenter.
Ehpad de Buchy, mars 2018. © Radio France / Charlotte Perry
Mais la situation de cet Ehpad n’est pas un cas isolé. Partout le manque chronique de personnel conduit à l’épuisement et à des situations indignes pour les personnes âgées. Les mouvements de grève se multiplient, avec le soutien des résidents et de leurs familles.
Retour sur trois reportages d’Ehpad en grève : en 2016, à Bordeaux, où les soignants dénonçaient les profits d’un Ehpad privé (groupe DomusVi, troisième opérateur sur le marché de l'or gris) au détriment des résidents. En 2018, à la veille de la grande grève nationale, avec Germaine, 103 ans, qui menait la lutte au sein du collectif "Vieux Debout" pour des conditions d’accueil dignes. Et à Buchy, en Seine Maritime, un Ehpad rural où les soignants passent leur temps à courir pendant que les résidents attendent.
Si la grève du 30 janvier 2018 a aboutit à ce que le gouvernement lance une grande consultation publique, qui a elle même aboutit au rapport du Docteur Libaul, il faudra attendre le projet de loi grand âge et autonomie à l'automne pour voir si les pouvoirs publiques ont réellement pris la mesure de l'urgence. Car la question de la dépendance est une véritable bombe à retardement: si aujourd'hui 1,5 millions de personnes sont âgées de plus de 85 ans, ils seront 4,5 millions en 2050, dont 2,3 millions dépendants. Et c'est aussi un véritable choix de société qui se pose à nous: quel avenir pour les vieux?
Un reportage de Charlotte Perry.
Les liens
Le scandale des EHPAD, Ella Kherief (éditions Hugo & cie) http://www.hugoetcie.fr/livres/le-scandale-des-ehpad/
Site de l'AD-PA https://ad-pa.fr/
Twitter du collectif "Vieux debout" https://twitter.com/vieux_debout
"Prendre soin de nos anciens" Ballast https://www.revue-ballast.fr/prendre-soin-de-nos-anciens/
Suzanne, Frédéric Pommier (éditions des équateurs) https://www.babelio.com/livres/Pommier-Suzanne/1059300
L'équipe Charlotte Perry Reporter Giv Anquetil Reporter Antoine Chao Reporter/producteur Clément Nouguier Réalisateur June Loper Attachée de production
Thèmes associés Société; Monde; animaux; insectes; nature; biodiversité; océan; glyphosate; climat; Environnement; écologie; Sciences; retraites; France; Ehpad; seniors; santé; médecine; Agnès Buzyn; hôpitaux; médecins
Connu / corem
Notre ambition est de restaurer des relations fonctionnelles entre des personnes ou des équipes qui traversent des difficultés pour dialoguer, décider, travailler ou agir ensemble. Nous facilitons aussi les relations interpersonnelles dans les projets, les changements, les transformations et toutes les situations où la qualité des échanges entre les acteurs est essentielle.
Notre savoir-faire repose sur le questionnement des acteurs pour travailler la relation, mettre les choses à plat et faire émerger des solutions acceptables pour chacun. Nous établissons un cadre assez sécurisé pour libérer la parole, dans lequel il est possible de dire les choses, y compris ce qui est porteur d’émotions, de rancœurs, de tensions ou de conflits. Notre position de tiers permet aux personnes de prendre du recul, de poser un nouveau regard sur leur situation et de stimuler la créativité pour fonder une nouvelle relation.
Nous venons d’horizons différents, et avons fait connaissance sur les bancs du CNAM où nous nous sommes tous trois formés à la médiation. Un Deux Tiers est né d’un désir de mettre en commun notre savoir-faire de médiateurs au service des personnes dans la création, l’entretien ou la re-création de liens.
Nous concevons nos interventions en binôme et nous privilégions la co-médiation.
Nos modes d’action privilégiés sont la Médiation, la Facilitation et la Formation. Nous ajustons nos interventions en fonction des situations et des problèmes identifiés, dans un cadre et un esprit humaniste : faire tiers sans faire taire, responsabiliser les acteurs, rester neutres par rapport aux solutions et impartiaux par rapport aux parties.
Nous exerçons dans le respect du Code National de Déontologie du Médiateur et des valeurs fondatrices de l’association : la coopération, la responsabilité et le dialogue au service de la fraternité.
Jeanne Vaillant, Denis Tardiveau, Natacha Waksman
Nos adresses
Un Deux Tiers – Paris 27, rue Froidevaux 75014 Paris
Un Deux Tiers – Caen 4 rue Pasteur 14000 Caen
Un Deux Tiers – Nantes 38 rue Desgrées du Lou 44100 Nantes
contact@undeuxtiers.com
L’individu n’est pas seulement un (unité, totalité), il est unique (unicité, singularité)1. Un individu est un verbe plutôt qu’un substantif, un devenir plutôt qu’un état, une relation plutôt qu’un terme et c’est pourquoi il convient de parler d’individuation plutôt que d’individu. Pour comprendre l’individu, il faut en décrire la genèse au lieu de le présupposer. Or cette genèse, soit l’individuation de l’individu, ne donne pas seulement naissance à un individu, mais aussi à son milieu associé. Telle fut la leçon philosophique de Gilbert Simondon2.
L’individuation humaine est la formation, à la fois biologique, psychologique et sociale, de l’individu toujours inachevé. L’individuation humaine est triple, c’est une individuation à trois brins, car elle est toujours à la fois psychique (« je »), collective (« nous ») et technique (ce milieu qui relie le « je » au « nous », milieu concret et effectif, supporté par des mnémotechniques)3. Cet « à la fois » constitue en grande partie l’enjeu historique et philosophique de la notion d’individuation. Par exemple, on se demandera de quelle manière la médiation mnémotechnique de l’imprimerie surdétermina les conditions de l’individuation et reconfigura les rapports du « je » et du « nous ». La politique industrielle ou l’écologie de l’esprit que nous appelons de nos vœux repose fondamentalement sur la ré-articulation entre l’individuation psychique, l’individuation collective et l’individuation technique.
Individuation vs. individualisme. C’est un paradoxe de notre temps maintes fois relevé : l’individualisme de masse ne permet pas l’individuation de masse. C’est la force des technologies de gouvernances néolibérales que d’avoir réussi à priver l’individu de son individuation, au nom même de son individualité. L’individualisme est un régime général d’équivalence où, chacun valant chacun, tout se vaut ; à l’inverse, l’individuation engage une philosophie où rien ne s’équivaut. L’individualisme répond à une logique où l’individu réclame sa part dans le partage des ayants droits (partage entre particularités, entre minorités) ; à l’inverse, l’individuation répond à une philosophie qui brise cette logique de l’identification, et pour laquelle il n’est pas de partage qui ne soit participation et pas de participation qui ne mène l’individu à dépasser ce qui le départage. On l’aura compris : l’individuation n’est pas l’individualisation – et l’individualisation, au sens où l’entend l’individualisme consumériste, est une désindividuation.
Il est donc des banalités philosophiques bonnes à rappeler : l’individu est singulier dans la mesure où il n’est pas particulier. Comment échapper à la particularité d’un chiffre (celui d’un génome, d’un code barre, d’une étiquette RFID) ou à celle d’un moi (une opinion, un goût, un vote) ? La particularité est reproductible, la singularité ne l’est pas : elle ne peut pas être un exemplaire – mais elle est un exemple de ce que c’est que s’individuer. Un individu est singulier dans la mesure où il n’est pas substituable : sa place ou son rôle ne peut pas préexister à son être. Il y a donc de quoi s’inquiéter des standardisations industrielles productiviste puis consumériste qui transforment le singulier en particulier, ou de ce marketing croissant qui assaille un cerveau de plus en plus formaté et de moins en moins formé.
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ndlr :
- "à la fois" intégré dans le "en même temps" macronien qui mélange la dimension temporelle à la dimension logique ? ACT
Centre Permanent d'Initiatives pour l'Environnement
Accueil Actualités Retour sur la rencontre du 12 décembre dernier proposée par le Projet Collectif de Recherche
logo du PCR (Projet Collectif de Recherche)
Retour sur la rencontre du 12 décembre dernier proposée par le Projet Collectif de Recherche
Lien de l'invitation : https://www.cpie-perigordlimousin.org/hauts-fourneaux-conference-12-decembre-nontron/
conférence du PCRLe 12 décembre dernier le PCR (Projet Collectif de Recherche) porté par 4 associations partenaires (Feu Fer Forges à Etouars, Route des Canons à Forge d’Ans, Route des Tonneaux et des Canons à Ruelle, CPIE du Périgord Limousin à Varaignes), organisait à l’Auditorium de Nontron une rencontre animée, notamment, de conférences et d’une table ronde intitulée “continuités écologiques et patrimoine des moulins“.
Nous remercions le public et la presse qui étaient au rendez-vous.
Retrouvez ci-dessous les détails de cette rencontre dans les articles de l’Echo et de Sud-Ouest datés respectivement du 21 et du 24 décembre 2018.
ndlr :
- les deux articles téléversés sous forme d'images
- évoquent la rencontre comme étant une médiation.
Accueil > Editorial > Entretien >
Comment mener la bataille du climat ? La non-violence est-elle la meilleure méthode ? Quand tout va basculer, parviendra-t-on à orienter les choses vers la solidarité plutôt que vers les barbelés ? Ce sont les questions que pose Jon Palais, militant d’Alternatiba et d’ANV COP 21. Un entretien tourné vers l’action.
• Reporterre poursuit une grande série d’entretiens de fond avec celles et ceux qui renouvellent la pensée écologique aujourd’hui. Parcours, analyse, action : comment voient-elles et comment voient-ils le monde d’aujourd’hui ? Aujourd’hui, Jon Palais, animateur d’ANV 21.
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corinne morel darleux a retweeté
Collectif Plein la Vue
@Coll_Pleinlavue
7 nov.
Projet de Règlement local de publicité du @grandlyon :
Quelques progrès mais des reculs importants, comme :
➡️ l'extension de l'autorisation des immenses bâches pubs
➡️ l'autorisation des écrans vidéo pubs dans les rues
Pour lutter contre la concentration des terres agricoles et la désertification, la commune d’Alloue a monté Terres en chemin. Cette société collective préserve des terres pour des projets d’installation agricole à taille humaine, au bénéfice de la qualité de vie du village.
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Jean-Jacques Catrain, maire de ce village de Charente
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En dix ans, le nombre de fermes avait été divisé par trois, avec une tendance à la reprise des pâturages par des céréaliers. » Alors, les habitants d’Alloue ont décidé de reprendre la main sur la répartition des terres agricoles et de décider du modèle de développement dans lequel le village évoluerait. ... création, en septembre 2016, de la Scic (société coopérative d’intérêt collectif) agricole Terres en chemin. L’entreprise a pour objectif de gérer les terres des agriculteurs partis en retraite pour les mettre à disposition de jeunes cherchant à s’installer. Éleveur bio de vaches laitières depuis trente ans à Alloue, Christian Leduque a pris sa retraite il y a deux ans. À ce jour, il est gérant de la Scic. ... Amandine Boutin, institutrice ... L’agriculture tient une place centrale dans la commune. Il suffit de se poser une heure à la terrasse de Chez Patou, le seul bistrot du village, pour s’en rendre compte : sur la route principale, bordée de maisons en pierres de taille et d’un ancien prieuré bénédictin, on voit passer presqu’autant de tracteurs que de voitures. « La commune compte 520 habitants et nous avons 23 fermes » ... Nous sommes au pied du Massif central, à seulement 90 kilomètres de Cognac, pourtant l’univers viticole est déjà loin. « Nous sommes ici sur une terre d’élevage, notamment de vaches et de moutons » ... « Alors qu’un céréalier va vivre sur 200 à 300 hectares, un éleveur laitier qui transforme lui-même peut se satisfaire de 30 à 40 hectares, relève l’ancien agriculteur. Et pour un maraîcher, moins de cinq hectares suffisent. » Mais, la préservation de cette agriculture à taille humaine est menacée par l’évolution de la transmission du métier. ... « Le rôle de la Scic est de stocker les terres. Elle loue les prairies des agriculteurs partis à la retraite et s’en occupe, en attendant qu’un jeune vienne s’installer, explique l’élu. On empêche ainsi la spéculation. Ces systèmes se créent quand il y a du vide. En étant organisés et en installant les jeunes, ils ne viendront pas, puisqu’il n’y a pas de vide. » Pour le moment, deux agriculteurs partis à la retraite louent leurs terres à la Scic. Celle-ci se charge de faucher les prairies et de faire le foin sur les parcelles qui ne sont pas encore occupées. « C’est comme l’histoire des prédateurs, compare Christian Leduque. Le renard prend un territoire quand il est vide. Eh bien, là, c’est la même chose. » ... la commune ne peut pas contraindre les agriculteurs partant à la retraite de louer à Terres en chemin. « Notre système dépend du bon vouloir des citoyens, concède le maire. Mais il fonctionne, car c’est dans l’intérêt de tous de vivre dans un village vivant. Et le lien social vient renforcer cela. » Outre les aspects économique et social, c’est leur environnement que les habitants d’Alloue tiennent à préserver. « La Charente est le fleuve le plus pollué de France, rappelle l’élu. Mais ici, en amont des vignes et des cultures céréalières, l’eau est préservée. Avec les prairies, il n’y a pas de désherbants et très peu d’engrais chimiques. »
« Nous allons pouvoir décider des productions présentes dans la commune en fonctions de nos besoins »
... la Scic travaille main dans la main avec l’association d’expérimentation agricole Champs de partage. ... un porteur de projet en apiculture à Champs de partage, qui s’installera ici en fin d’année. Pour être reconnu apiculteur, il lui faut au moins 150 ruches. Il a acheté au début de son test 50 ruches. Il va amener progressivement son cheptel à la dimension économique permettant d’être reconnu. » Champs du partage fonctionne pour le moment dans les quatre départements de l’ancienne région du Poitou-Charentes. Les personnes accompagnées par l’association vont pouvoir se mettre en conditions à Alloue. Certains dans le but de s’y installer et d’autres simplement pour se roder avant de partir ailleurs. Mais la commune accueille également des porteurs de projet souhaitant s’installer sans passer par l’association d’expérimentation agricole.
Pour attirer les jeunes à Alloue, la Scic travaille main dans la main avec l’association d’expérimentation agricole Champs de partage.
Jenny Lhoir, 36 ans, s’installera sur les terres de la Scic cet automne pour y élever des canards coureurs indiens. « Mon compagnon est maraîcher et je voulais rejoindre le milieu agricole, mais je ne trouvais pas de terrain pour m’installer, raconte la jeune femme. Aux 30 ans de la Confédération paysanne, j’ai rencontré Christian Leduque. Il m’a parlé de Terres en chemin et m’a proposé de m’installer à Alloue. » L’activité de Jenny, d’abord en phase de test avec Champs de partage, occupera dix hectares. Les volatiles seront vendus en circuit court, mais aussi loués aux vignerons et aux maraîchers. « Cette espèce de canard a la particularité de consommer des insectes sans nuire aux cultures, indique l’entrepreneuse. Ils représentent une bonne alternative aux pesticides. » ... Actuellement, on manque de fruits et légumes, par exemple. » Le maire va également actionner d’autres leviers pour développer les circuits courts : « Par exemple, faire le choix des produits locaux à la cantine ou organiser des commandes de paniers par internet pour les jeunes actifs. » Selon lui, Terres en chemin est un simple outil, au service d’un projet plus grand : « Derrière la Scic et la question de l’alimentation, il y a tout un projet de société, qui s’appuie sur le lien social dans la commune. » Un projet où, finalement, les céréales aussi peuvent trouver leur place : « Depuis peu, une jeune paysanne-boulangère s’est installée à Alloue. Elle cultive ses céréales bio sur la commune, fait sa farine et son pain. Du champ au stockage, il y a 500 mètres. Du stockage au moulin et au four, 100 mètres. Et du four au bourg, un kilomètre. »
Une lettre d'orientation destinée aux pouvoirs publics et à la représentation nationale a été rédigée par le Collectif Médiation 21 à la suite des Etats généraux de la Médiation du 15 juin 2018.
Consultez la lettre d'orientation
http://www.anm-mediation.com/images/Lettre_dorientationEGM.pdf
ndlr : elle n'indique pas qui sont les membres de ce collectif :-(
Présentation
Les contributeurs de ce Cahier de l’action, responsables associatifs ou de collectifs, dont certains sont animateurs de réseaux régionaux, développent des expériences sur le territoire métropolitain dont le point commun est une pratique des « tiers-espaces » : espaces de réalisation collective, lieux en retrait ou délaissés, comme les friches et les squats, en dehors des grands pôles d’attractivité régionaux. Ce numéro vise à valoriser les savoirs issus de l’expérimentation sociale auprès de minorités actives et des groupes les plus marginalisés de la population. Il s’organise autour de trois problématiques : leur rapport au travail, leur rapport au territoire et leur rapport à l’organisation de l’espace.
Un des éléments structurants de ces contributions est une démarche de recherche-action qui s’appuie sur une écriture collective et réflexive dépassant la fonction habituelle de s’exprimer, de témoigner, de transmettre ou de laisser une trace. Les auteurs de ces articles se sont aussi construits en tant qu’acteurs- chercheurs susceptibles d’élaborer leurs propres référentiels d’analyse et dispositifs d’action : savoirs généralisables issus de l’expérimentation, validation d’expertise et d’acquis d’expérience, auto-analyse des pratiques et analyse critique des rapports sociaux… Ils ont provoqué ainsi des relations inédites qui sont une autre manière de nommer une intelligence collective que ce cahier souhaite valoriser et partager.
Sommaire
Avant-propos
Emmanuel Porte
Page 5 à 5 Avant-propos
Introduction
Hugues Bazin
Page 7 à 17 Récit d’une recherche-action en situation
I. Un autre rapport au travail qui nous travaille
Anne Meyer
Page 19 à 27 Éducation populaire et action syndicale : un espace expérimental pour se reconnaître, apprendre les uns des autres en faisant un pas de côté
Anton Quenet-Renaud
Page 29 à 35 L’Atelier : beaucoup avec pas grand-chose
Premières lignes Version HTML Version PDF
Nicolas Guerrier
Page 37 à 45 Dénouer le travail. L’expérience du Cycle travail comme recherche et autoformation collective
Jeanne Guien, Maëlle Cappello, Hugues Bazin
Page 47 à 53 Recherche-action avec les récupérateurs-vendeurs de rue
Laurent Ott
Page 55 à 66 Pédagogie sociale et appropriation du territoire
II. Un autre rapport au travail qui transforme
Christine Balaï
Page 67 à 78 De l’imaginaire au réel, lien entre tiers-espaces, collectifs et territoire
Arthur Bel
Page 79 à 86 Les squats, une alter-urbanité riche et menacée
Julien Bellanger
Page 87 à 95 Lieux numériques : entre pratiques populaires et réappropriation des technologies ?
Victoria Zorraquin
Page 97 à 103 Du bidonville au « lieu de vie » : la redéfinition de l’espace du bidonville à travers les arts politiques et la pédagogie sociale
Éric Sapin
Page 105 à 112 Un centre socioculturel embarqué sur une péniche « pour la paix » ou les singularités de l’espace fluvial
III. Un autre rapport à l’organisation de l’espace qui émancipe
Camille Arnodin
Page 113 à 121 Debout éducation populaire : la circulation de la parole et le partage des savoirs dans l’espace public
Élisabeth Sénégas, Marie-Françoise Gondol
Page 123 à 130 La Chimère citoyenne, espace ouvert à tous, qui ne propose rien et où tout est possible
Christophe Giroguy, Le collectif des utopien·ne·s du quartier de l’Ariane à Nice
Page 131 à 141 Des tiers-espaces d’émancipation par l’action
Lakdar Kherfi, Propos recueillis par Hugues Bazin
Page 143 à 147 « La nuit nous appartient » : médiation nomade dans les quartiers populaires
Simon Cobigo
Page 149 à 156 La méthode Système Bulle
Conclusions
Hugues Bazin
Page 157 à 162 Les enjeux d’une science citoyenne au cœur de la société
Page 163 à 169 Retours sur l’expérience d’écriture collective
Ressources
Page 170 à 171 Ressources
Page 172 à 173 Répertoire des sigles
Avec HelloAsso consacrez votre temps et votre énergie à votre projet associatif
Un modèle unique et participatif
nous nous rémunérons grâce aux pourboires volontaires laissés par les contributeurs
Un projet soutenu par l’Elysée
HelloAsso fait partie des premiers projets à être soutenu par l’Elysée dans le cadre du programme La France S’Engage.
Engagés pour faire d'internet un outil au service du bien commun
HelloAsso est à l’initiative de la Social Good Week : une semaine d’évènements dédiés au web social et solidaire. Cette manifestation a pour but de mettre en lumière les initiatives qui utilisent les nouvelles technologies pour apporter des solutions à des problèmes sociaux et environnementaux.
Réunissant plusieurs milliers de personnes à travers la France, la Social Good Week est une occasion unique de rassembler l’écosystème du web social et solidaire autour d’une problématique commune : Comment mettre le numérique au service du bien commun et de l’intérêt général ?
Appelez-nous pour discuter de votre association, de vos projets, et de vos besoins de financement.
05 64 88 02 34
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Voici ceux qui font de HelloAsso ce qu'elle est :
Président Cofondateur Ismaël Le Mouël
Directrice Générale Cofondatrice Léa Thomassin
Directeur Technique Didier Colin Directeur du Développement Thomas Guillochon
Lead Développeur Eddy Montus - Développeur Back-end Ilia Pezkine - Responsable Accompagnement Fanny Friart - Directeur Communication & Partenariats Charlie Tronche - Administrateur Applicatif Cédric Meunier-de-Mot - Operations Manager Hannah Berkouk - Office Manager Vanessa Comment - Intégrateur Webdesigner Pierre Prézelin - Responsable technique des Relations Utilisateurs Camille Fournier - Responsable des Relations Utilisateurs Hélène Barras - UX Designer Cécile Magnier - Chargé de Développement Paul Szersnovicz - DevOps Tristan Pinaudeau - Chargée de Relations Utilisateurs Sarah Mounier - Chargée de Relations Utilisateurs Julie Schmitt - Analyste d'exploitation Hugo Martineau - Responsable Webmarketing Anne Laudet - Chargée de Relations Utilisateurs Sarah du Tertre Chargée de projets Rozann Bézier - Chargé de Communication Hugo Grimaldi - Chargée de Relations Utilisateurs Juliette Guigue - Graphiste Romain Pouzou - Responsable des Relations Presse Astrid Bergugnat - Chargée de Relations Utilisateurs Aurore Chanez - Chargée de Relations Utilisateurs Anne Gaudin - Product Manager Sacha Stepanian - Responsable Ressources Humaines Claire Corric - Intégrateur Webdesigner Servan Briand - Technicienne d'exploitation Émilie Tricot - Développeur mobile Alexis Ardouin - Chargée de SEO Émilie Costallat - Développeur Back-end Gaëtan Vigner - Développeur Back-end Maxime Riffaud - Chargée de campagnes Webmarketing Morgane Touze - Développeur Back-end Adrien Havas - Expert monétique Onéciphore Deitan Rota - Technicien d'exploitation Bastien Gallinato - Coordinatrice régionale Grand Ouest Laura Micheneau - Chargé de suivi de projets Anderson Pinho - Directeur stratégique et financier Pedro Mendoza
Site officiel
Luttons ensemble contre un grand projet inutile et imposé.
Proposons de belles alternatives, pour un territoire vivant, diversifié et attractif.
L’autoroute A45, c’est quoi ?
Une deuxième autoroute Lyon Saint-Etienne
L’A45 est un projet de 48 kilomètres d’autoroute qui relierait Brignais (au sud de Lyon), à la Fouillouse (au nord de St Etienne). L’A45 serait raccordé à la voie rapide A450 existant déjà entre Lyon et Brignais. Il récupérerait l’A72 (qui part au nord de St Etienne, direction Clermont) au niveau de la Fouillouse.
Son tracé provisoire (en orange foncé sur la carte) montre que l’A45 est parallèle à l’A47 existante, qui est une autoroute gratuite.
Les alternatives à l’A45 existent !
Elles permettraient d’éviter le gaspillage de l’argent public dans un grand projet inutile et imposé, d’éviter la destruction de plusieurs centaines d’hectares de terres, de préserver un milieu naturel unique et protégé.
1. Améliorer l’A47
Entre Saint-Chamond et Saint-Etienne, à Givors, plusieurs pistes sont étudiées depuis 10 ans :
Rénover et isoler phoniquement au droit de la section de Rive-de-Gier
Terminer la « requalification » dans la traversée de Givors
Améliorer la sécurité des entrées et des sorties d’autoroute
Créer des bandes d’arrêt d’urgence et des refuges
Améliorer la régulation de vitesse, avec un vrai affichage dynamique pour coller aux exigences de sécurité du trafic, sans exaspérer les utilisateurs des heures creuses
Poursuivre les améliorations de la rocade stéphanoise tant pour les entrées et sorties d’autoroute que pour l’isolation phonique
2. Développer les alternatives à la voiture
Par les transports collectifs, par le changement de nos modes de vies
Connu /
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Sujet : « Programme 2018-2019 : Formation des bénévoles associatifs en Charente ! »
Date : Mon, 17 Sep 2018 10:23:50 +0200
De : Maison des Peuples et de la Paix peuples16@reseau-mpp.org
SAVA16-logo03.png
Bonjour,
Pour la première année, le collectif des structures d’Aide à la Vie Associative “SAVA 16” de Charente et son réseau d’acteurs ressources organise et vous propose un programme de formations mutualisées spécifique pour les bénévoles !
Retrouvez sur notre site toutes les informations sur les formations : informations, contenus, lieux, horaires, programme, fonctionnement, modalités d’inscription et contacts….Le calendriers des formations est mis à jour très régulièrement.
Les formations sont ouvertes à tous les bénévoles de toutes les associations existantes ou en cours de création en Charente, qu’ils soient élus ou non dans leur association.
La participation de plusieurs bénévoles d’une même association peut permettre de mieux réinvestir les apports de chaque formation. N’hésitez donc pas à vous inscrire à plusieurs !
L’accès aux formations des bénévoles en Charente organisées par le SAVA 16 dans le cadre du cycle de formation est gratuit et soumis à une inscription en ligne.
Vous êtes un acteur associatif et vous souhaitez proposer une formation à destination des bénévoles sur le territoire, nous vous invitons dans un premier temps à prendre contact avec notre collectif afin de connaître les modalités de fonctionnement. Ensuite, vous pourrez inscrire votre formation sur le site du collectif.
Vous n’avez pas trouvé la formation qui vous intéresse dans ce catalogue ? Le Collectif peut vous accompagner à construire avec vous votre programme pour répondre à vos besoins.
NB : Merci de faire suivre cette Email dans vos réseaux et d'afficher si possible l’information dans vos structures en utilisant les supports ci-joint !
Solidairement,
--
Honorine BERNARD
Responsable de Structure
Maison des Peuples et de la Paix /// 50 rue Hergé - 16000 Angoulême
05 45 92 48 32 ///honorine.bernard@reseau-mpp.org /// reseau-mpp.org
N'imprimez ce mail que si nécessaire.
http://www.frmjc-poitou-charentes.fr/http://www.frmjc-poitou-charentes.fr/
"
La Fête des Possibles est organisée par le Collectif pour une Transition Citoyenne.
contact@fete-des-possibles.org
Mentions Légales
Le Collectif Eco citoyen Ouest Angoumois, association de loi 1901, assure la diffusion de son site (ci-après dénommé le site Internet www.cecoa16.fr). Ce site Internet a été élaboré avec la volonté de vous apporter une information complète sur les problématiques avérées et éventuelles liées aux unités de méthanisation.
Siège Social
Le siège social de l'association est fixé à : 4 Chemin des Sources *16730 FLEAC.
Publication du Site*
Directeur de la publication et webmaster : CECOA.
Email de contact : cecoalesite@gmail.com
https://twitter.com/cecoa16
Hébergeur : One.com
Articles « Signés PAP »
Signé PAP 23 « Mettre l’humain au coeur du paysage : l’exemple de la vallée de la Bruche » – Yves Gorgeu [Télécharger le Signé PAP n°23 en pdf – 1 mo]
Signé PAP 22 « Pour un urbanisme durable, le paysage, une ambition à partager » – Simon Paillet [Télécharger le Signé PAP n°22 – 784 ko]
Signé PAP 21 « Les haies et les arbres champêtres pour incarner et faciliter la transition écologique, énergétique et paysagère » – Paule Pointereau [Télécharger le signé PAP n°21 en pdf – 1 mo]
Signé PAP 20 « Les campagnes arborées de demain » – Philippe Pointereau [Télécharger le Signé PAP n°20 – 546 ko]
Signé PAP 19 « L’arbre hors-forêt, une longue histoire à poursuivre » – Véronique Mure [Télécharger le Signé PAP 19 en pdf – 1Mo]
Signé PAP 18 « Une révolution pour la transition » – Bertrand Folléa [Télécharger le Signé PAP n°18 en pdf – 1Mo]
Signé PAP 17 « La gestion territoriale des flux alimentaires : le cas du plateau de Saclay » – Marion Bruère [Télécharger le Signé PAP n°17 en pdf – 1Mo]
Signé PAP 16 « Habitants des montagnes du monde : les solutions du paysage au cœur des conférences internationales des nations unies sur le climat » – Yves Gorgeu [Télécharger l’article en pdf – 239 kB]
Signé PAP 15 « Comment l’allégorie des effets du bon gouvernement guide la transition bas-carbone des territoires » – novembre 2017 – Julien Dossier [Télécharger l’article – 3,3mo]
Signé PAP 14 « L’agriculture, un atout pour imaginer le péri-urbain de l’après-pétrole : les enseignements de l’Essonne » – octobre 2017 – Valérie Kauffmann [Télécharger l’article]
Signé PAP 13 « L’approche paysagère au service de l’accord de Paris sur le climat » – septembre 2017 – Jean-Pierre Thibault [Télécharger l’article]
Signé PAP 12 « Les Grands Sites de France, territoires de référence pour les paysages de l’après-pétrole » – août 2017 – Anne Vourc’h et Yves Gorgeu [Télécharger l’article]
Signé PAP 11 « L’Atelier des territoire d’Avignon : fabrique du paysage de l’après-pétrole – Le paysage comme fondement et comme finalité de la démarche de projet urbain de la ville » – juin 2017 – Sébastien Giorgis [Télécharger l’article]
Signé PAP 10 « Le Temps des soustractions heureuses » – mai 2017 – Alain Freytet [Télécharger l’article]
Signé PAP 9 « Parole des papistes – 2017 en Avignon » – mars 2017 – Christophe Bayle [Télécharger l’article]
Signé PAP 8 « Plans Paysage et Territoires à Energie Positive : suggestions méthodologiques pour l’élaboration de programmes d’actions conjoints – rendre vivables et habitables nos territoires ressources » – mars 2017 – Isabel Claus [Télécharger l’article]
Signé PAP 7 « Infrastructures de transport et paysage : une alliance historique dont l’après-pétrole fait renaître la nécessité » – mars 2017 – Jean-Pierre Thibault [Télécharger l’article]
Signé PAP 6 « Propositions pour la Convention européenne du paysage » – janvier 2017 – Régis Ambroise [Télécharger l’article]
Signé PAP 5 « Le paysage : un projet territorial. Une opportunité pour repenser la planification, renforcer l’urbanisme opérationnel, et accélérer la transition énergétique, à l’exemple des PNR » – janvier 2017 – Yves Gorgeu [Télécharger l’article]
Signé PAP 4 « Le Soleil des garrigues – potentiel énergétique et enjeux paysagers » – janvier 2017 – Emmanuelle Diez [Télécharger l’article]
Signé PAP 3 « Que seront les paysages agricoles de l’après-pétrole? La campagne des paysages d’Afterres2050 » – septembre 2016 – INITIAL & SOLAGRO [Télécharger l’article]
Signé PAP 2 « Immobiles ou dynamiques? Les paysages protégés, des références pour inventer la qualité paysagère de l’après-pétrole » – juillet 2016 – Jean-Pierre Thibault [Télécharger l’article]
Signé PAP 1 » La Transition énergétique est une opportunité pour repenser la qualité paysagère et humaine des territoires » – mars 2016 – Yves Gorgeu [Télécharger l’article]
Fonctionnement
Qui dirige le collectif ? Quelle est sa gouvernance ?
La forme et la gouvernance du collectif ne sont pas figées, et même volontairement floues. Comme CHATONS est directement inspiré du mouvement du logiciel libre, il n'est pas très étonnant que certaines caractéristiques soient communes.
D'abord, les grandes lignes du projet ont été définies, de façon un peu autoritaire (mais dans le bon sens du terme, hein ;) ) par l'association Framasoft. Ainsi, il faut voir la mise en place de CHATONS comme la toute première version d'un logiciel libre, son premier commit. En conséquence, c'est bien Framasoft qui oriente, dans un premier temps, le collectif, tout en étant à l'écoute des souhaits des membres. Cela n'est pas sans rappeler l'analogie du dictateur bienveillant ou du chef de projet. Cependant l'association Framasoft n'ayant aucun intérêt, ni financier, ni politique, à gérer les orientations du collectif, il est très vraisemblable que la gouvernance évolue à terme vers une forme différente, que les membres devront définir ensemble.
Comment sont évalués les critères des engagements des CHATONS ?
Nous allons vous faire peur : il n'y a pas de « grand comité de vérification et de conformité » (ou équivalent) ! :-)
Le contrôle se base sur un principe vieux comme le monde : la confiance.
Nous pensons en effet que l'engagement moral à respecter l'ensemble des points de la Charte est un bon point de départ. Le meilleur, même. Peut-être que, plus tard, le collectif évoluera vers d'autres formes de contrôle. Mais pour commencer, un fonctionnement basé sur la confiance :
évite des lourdeurs administratives ;
évite les failles techniques (s'il fallait déléguer un accès "root" aux machines, cela serait une faille de sécurité) ;
n'empêche pas un contrôle par les pairs (un membre du collectif peut interroger un autre membre sur les solutions mises en place) ;
n'empêche pas un retour des bénéficiaires (par exemple en commentaire d'une fiche sur le site chatons.org, pour indiquer un dysfonctionnement).
Par ailleurs, en cas de litige réel et profond, un groupe de médiation n'ayant pas d'interêts direct dans l'affaire pourra intervenir.
La Pépinière accompagne gratuitement et sans sélection toutes les initiatives citoyennes qui contribuent à construire une société écologique et solidaire, qu’il s’agisse d’associations, d’actions entre voisins ou amis ou encore d’entreprises artisanales ou d’économie sociale et solidaire.
la pépinière d'initiatives citoyennes à besoin de vos dons pour perdurer
Deux modes d’accompagnement
Un accompagnement personnalisé, avec des rendez-vous réguliers permettant au porteur de discuter avec un binôme d’accompagnateurs d’Anciela et/ou des personnes ressources mobilisées sur un enjeu spécifique rencontré par le porteur. L’accompagnement est centré sur les personnes, Anciela accompagne des porteurs, pas des idées !
Un accompagnement collectif et collaboratif, avec des ateliers et des événements qui mettent à contribution les autres porteurs ou des personnes motivées pour aider les porteurs à avancer sur leurs idées. Défis-nom, soirées de lancement, rencontres entre jeunes porteurs et associations du territoire…
Trois grands principes d’accompagnement
Un accompagnement global, qui couvre tous les aspects d’une initiative, des plus techniques au plus personnels. Notre rôle est d’être à côté des porteurs, face à tous les défis qu’ils rencontrent !
Un accompagnement entièrement gratuit, libre et adapté aux porteurs. La Pépinière accompagne autant des porteurs qui sont au stade d’un embryon d’idée (voire d’une envie de porter une action) que d’autres ayant un projet bien construit et des besoins plus spécifiques.
Un accompagnement subjectif, sincère et modeste. La Pépinière assume sa subjectivité, nous ne sommes pas des experts de tout qui savons tout, bien que nous capitalisions des expériences et des expertises. Notre rôle est d’apporter des questions, des conseils, des critiques pour aider les porteurs à trouver leur chemin et à construire une initiative pertinente.
Les bilans de la Pépinière
Vos interlocuteurs
Ariane BUREAU
ariane.bureau@anciela.info
09 72 38 60 50
Martin DURIGNEUX
martin.durigneux@anciela.info
06 37 61 99 41
Trouver un hébergeur de services libres et éthiques près de chez vous
Le Collectif Paysages de l’après-pétrole formé en mai 2013, constitué en association en 2015, compte s’engager prioritairement dans la réflexion et le suivi de démarches paysagères concernant :
- un développement urbain soucieux des territoires et du bien vivre
- l’économie et les innovations énergétiques
- la mise en œuvre de l’agroécologie
Activités : MÉTHODE D’ACCOMPAGNEMENT DES TERRITOIRES
Le Collectif PAP a l’ambition de fabriquer des outils d’accompagnement et d’animation à destination des collectivités et des habitants, sur le croisement entre les transitions énergétique, écologique, sociétale… et les paysages. L’objectif est de trouver les meilleurs solutions et de rendre désirables et acceptables les transitions, via l’approche paysagère qui permet d’être plus efficace et de fédérer.
Comité de pilotage initial constitué par : Régis Ambroise (ingénieur agronome et urbaniste, expert auprès du conseil de l’Europe pour la Convention du Paysage), Laurence Ermisse (indépendante, experte en développement durable territorial), Sébastien Giorgis (architecte DPLG, paysagiste FFP, urbaniste SFU, paysagiste conseil de l’État), Yves Gorgeu (fondateur du réseau Paysage et urbanisme durable de Mairie-conseils), Xavier Guillot (École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne, coordonnateur scientifique du réseau Espace Rural et Projet Spatial), Mathilde Kempf et Armelle Lagadec (architectes DPLG, urbanistes OPQU), Odile Marcel (philosophe, présidente de la Compagnie du Paysage), Vincent Piveteau (directeur de l’École nationale supérieure de Paysage de Versailles), Baptiste Sanson (ingénieur agronome, directeur du Centre Ecodéveloppement de Villarceaux) et Jean-Pierre Thibault (inspecteur général de l’administration et du développement durable).
contact@paysages-apres-petrole.org
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les informer de plpdlA ACT
Présentation
Notre collectif regroupe l’essentiel des associations et collectifs qui œuvrent pour la promotion des biens communs informationnels et la libre diffusion du savoir. L’élection présidentielle étant le moment des grands choix politiques pour les 5 prochaines années, nous adressons une série de questions aux candidats, afin que leurs réponses puissent éclairer le choix des personnes sensibilisées à ces thématiques, au moment de voter.
Les origines intellectuelles des Communs remontent à très loin, et ont émergé à nouveau depuis une vingtaine d’années, grâce aux outils numériques. Des projets phares comme le développement des logiciels libres ou Wikipédia montrent que cela fonctionne et apportent une réelle plus-value.
#ConnaissanceLibre2017
@PLCL2017
contact@connaissancelibre2017.fr
La place de la médiation dans la cité est devenue un enjeu démocratique et politique au sens noble du terme. Par ses recherches issues des expériences pratiques significatives de ses membres, le COREM entend notamment peser pour que les pratiques éthiques de la médiation soient reconnues et prépondérantes.
Mainstenant est un collectif et mouvement de libération, d'occupation et d'animation d'écovillages, écolieux, terres, îles et écoles (...), connecté.e.s aux cités - à fin d'émancipation.
ndlr : /outils site que gafam ?
Le collectif Mainstenant ouvre des écolieux et des écovillages sur des sites abandonnés. Reporterre vous emmène, en vidéo, sur l’île du Platais, dans les Yvelines, où le collectif développe un de ses projets.